Voyage en Géorgie USA – 1 semaine
Décalage horaire : – 6h (par rapport à la France) | Transport : voiture
Après avoir quitté Jacksonville, je me dirige vers l’état de la Géorgie ainsi que de la Caroline du Sud. J’ai lu que la côte possède des villes au passé historique fort, dont on peut encore apprécier les vestiges.
Par ailleurs, j’ai promis à mes amis d’aller les voir à Atlanta. C’est parti pour un un road trip d’ 1 semaine en Géorgie aux Etats Unis.
Mon itinéraire
SAVANNAH | 2 nuits
Charleston (échappée en caroline du sud) | 1 nuit
atlanta et colombus | 4 nuits
coup de coeur / Coup de gueule
Savannah et son centre historique, magnifique
La spanish moss qui donne un coté mystique à la ville de Savannah
Les champs de coton trouvés par hasard en chemin
Aller au Centennial Park d’Atlanta avec des amis
World of Coca Cola, ce n’est pas terrible sauf pour goûter à tous les sodas
de toi à moi en géorgie
Au volant de la Fiat 500 (c’est étrange pour les States les petites voitures), je dois parcourir la route entre Charleston et Atlanta. Malgré un trajet prévu par Google Maps, je me perds (comme d’hab). C’est alors que, loin de l’interstate ennuyeuse où il n’y a rien à voir et où tout se ressemble, je me retrouve au milieu de la campagne américaine. Le décor change.
Je passe par des petites villes dignes du film « O’Brother » . Elles possèdent une église et quelques maisons rassemblées autour de la route principale. Au bout d’un moment j’aperçois des champs étranges. Ils sont à moitié blanc, constitués de tiges d’herbe sèche avec un petit bout clair. Je ralentis.
Waaaah celui en face de moi est entièrement blanc. On dirait un manteau neigeux. Je regarde attentivement. Je suis au milieu des champs de coton ! Chaque baraque possède un champ autour d’elle. Une grosse machine tourne devant moi et se met à récolter.
C’est la première fois que je vois de vrais champs de coton. Je m’arrête un instant pour contempler le spectacle. Je m’aperçois que je fredonne « You are my sunshine ». Oui, pas de doute là, je suis clichée ! En tout cas une chose est sûre : l’imprévu ça a du bon.
Publié le 28/05/2015